La rumeur provient d’un article de 2011 dans un magazine de Hong Kong qui a été repris par la BBC en 20164. Ces fausses informations se sont répandues sur les réseaux sociaux sans aucune preuve tangible2. Mais le partenariat de Facebook avec les vérificateurs de faits français permet de lutter contre cette désinformation.
Des études montrent que 60% des articles sur Twitter ne sont pas lus2. Cette rapidité de diffusion de fausses nouvelles sans vérification souligne l’importance de la pensée critique et de l’information fiable.
« Dans le cas d’une fake news, il y a intention de tromper le destinataire de l’information. »
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